Un jour sur le plateau de tournage d’un film indépendant à petit budget. Dans la lignée de La Nuit américaine de Truffaut, une immersion dans le microcosme d’une équipe de tournage qui fait face à une série de déboires (tout ce qui peut foirer, foire), doublé d’un vif hommage de Tom DiCillo au cinéma indépendant.

Un suspense en lieu clos, dénoué par James Stewart et traité en virtuose par Hitchcock, imaginant tout le film en un seul plan continu.

Shigero, un jeune éboueur sourd, trouve une planche de surf cassée dans la poussière. Très vite, il devient obsédé par les vagues, l'eau et la mer.

Au cours d’un voyage à travers l’Europe de l’Est, de Berlin à Istanbul, Ottinger filme ses rencontres avec les laissés-pour-compte qui échappent à l’attention des médias et vivent dans l’oubli face à la terreur des gangs, des mafias, et du despotisme paramilitaire. Une approche bouleversante d’une réalité insoupçonnée.