Pour la troisième année consécutive, nous revisitons l’histoire du cinéma italien à travers cinq films et conférences.

Une parodie de roman-photo, avec de juteux anti-héros prolétaires, les coups de griffe de la satire, et une transposition de Jules et Jim à la sauce italienne.

Librement inspirée de l’amitié d’Édouard Manet et de Charles Baudelaire, une déambulation urbaine surréaliste, avec le passage du poète par la « pauvre Belgique ». Par une réalisatrice proche de Serge Bozon, acteur dans le film.

Un état du monde singulier et poétique, qui mêle répliques de théâtre, problèmes d’argent, et considérations sur les objets, au travers des états d’âme de deux frères, l’un directeur d'une banque, l’autre directeur d’un théâtre, et de leur séduisante cousine, le tout sur fond de la production et la mise en scène d’Oncle Vania de Tchekhov.

Un acteur vieillissant invite un célèbre dramaturge et sa femme à dîner. Au cours du repas, l’homme raconte l’histoire tragique d’un amour perdu depuis longtemps (Little White Frock). Un couple est arrêté par la police le long d’une petite route de campagne et est extorqué d’une coquette somme d’argent. Pas de chance, l’homme travaille pour la Commission d’Etat, et décide de mettre le…