Après des incursions dans la science-fiction et le cinéma d'aventure, Steven Spielberg s'attelle en 1992 à l'adaptation de Peter Pan, déjà réalisée dans les années 1950 par les studios Disney pour devenir un classique du dessin animé.

Un tueur de l'Ouest sort de sa retraite pour un dernier baroud. Joué et réalisé par Clint Eastwood, ce western désabusé et crépusculaire, démythifie les traditions du genre.

Entre science-fiction et réflexion philosophique, trois hommes entament un voyage initiatique vers un territoire interdit, traversant épreuves et doutes, avec l’aide d’un mystérieux « stalker » (ou « passeur »), qui les dirige vers la Chambre, la réponse ultime. Des décors glauques pour un Tarkovski ésotérique, traduisant par le mythe ses angoisses existentielles.

Produit à grands frais par le Français Humbert Balsan, ce film prend l'expédition de Bonaparte en Égypte comme prétexte à une satire des colonialistes démagogues, avec une composition de Michel Piccoli en humaniste-guerrier homosexuel.

Le thème poncif des amants fugitifs, revisité en plein délire ecstasy par Gregg Araki à grandes louchées de gore et d'absurde, d'outrances échevelées et de grand-guignol.