Le premier film manifestement politique d’Ôshima, décrit dans un style surprenant les tensions qui déchirent le principal mouvement étudiant japonais de gauche. Un témoignage sur le désenchantement et la désillusion idéologique de toute une génération.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, un camp pénitentiaire pour condamnés militaires anglais en Afrique est le théâtre de brimades sadiques et bourreaux inventifs face aux révoltes avortées de leurs victimes.

Dans une villa bourgeoise, une femme trahie et solitaire cotoîe une belle inconnue de passage (D. Seyrig). Ce sont là les seuls éléments d'un film austère rythmé par les textes obsessionnels de Marguerite Duras. 

Une jeune femme épouse celui qu’elle a sauvé d’une rixe dans une rue peu sûre de New York, et ce malgré son caractère apathique et dépressif. Malgré les innombrables et invraisemblables déconvenues qui s’abattent sur son nouveau mari, elle est déterminée à l’aider coûte que coûte. Une comédie étrange, teintée de nihilisme et de noirceur, avec Sutherland dans le rôle d’un prêtre.