Une fille tombe malade dans un grand hôpital. Là, elle rencontre un homme qui raconte des histoires. Ensemble, ils voyagent dans leur imagination vers un monde magique rempli de héros, d’aventures et d’amis extraordinaires.

Une variation très originale et inspirée sur le thème de la mémoire amoureuse, avec un Jim Carrey faisant « effacer » de son cerveau des souvenirs qui -très vite- se révèlent trop précieux pour être définitivement perdus.

Deux poésies de Gerrit Kouwenaar sont lues en voix-off par le poète lui-même sur les images d’un couple faisant ses valises, partant en voyage et défaisant ses bagages au terme de celui-ci.  L’Ombre du vent, dédié à Huub Bals alors directeur du festival de Rotterdam, a été réalisé selon la « méthode du domino » : chaque scène, à l’exception de la première, a été créée après le tournage de la…

Berlin, début des années 1980. Un manager, qui comptait parmi les plus grands il y a des années, a vu sa carrière décliner et voit dans Moody, un jeune musicien, l’occasion de se relancer. La rencontre entre deux caractères bien affirmés, Dennis Hopper et Roland Klick, a accouché d’un film ahurissant, dans lequel Hopper donne l’une de ses meilleures performances.

Un entrelacs de mini-drames sociaux évoquant la condition féminine dans une société sexiste. Forme, structure (celle du cercle, métaphore centrale du film) et puissance thématique se combinent en une œuvre bouleversante, couronnée d’un Lion d’or à Venise.

Après neuf années passées en prison en Angleterre, The Limey (l’Anglais) débarque à Los Angeles pour venger sa fille morte dans de mystérieuses circonstances. Une incursion dans les bas-fonds de la criminalité dans un film noir à la narration fragmentée et kaléidoscopique.